Ce post, dont la thématique est « la justice », a été vu sur internet, notre rédaction est heureuse de vous en reproduire le contenu principal ici.
Le titre suggestif (une centaine de personnes réunies devant le tribunal en soutien à deux militantes de Cruis) est sans équivoque.
Sachez que l’éditorialiste (présenté sous le nom d’anonymat
) est positivement connu.
Vous pouvez par conséquent vous fier aux révélations qu’il diffuse.
Les deux accusées sont poursuivies pour avoir entravé la circulation des véhicules sur une voie publique et d’avoir pénétré sans autorisation sur un chantier. Elles sont opposées au projet de centrale photovoltaïque de Cruis.
Plus d’une centaine de personnes se sont rassemblées devant le palais de justice de Digne-les-Bains (Alpes-de-Haute-Provence) en soutien aux deux militantes contre l’implantation de la centrale photovoltaïque de Cruis, dont le procès se tenait ce jour mardi 14 novembre.
Deux militantes au projet de la multinationale Boralex
Ces nombreuses personnes étaient là en soutien de Sylvie et Claudine. Ces deux militantes sont poursuivies pour avoir entravé la circulation des véhicules sur une voie publique et pour avoir pénétré sans autorisation sur un chantier dans la commune de Cruis. Ce chantier n’est autre que celui de l’installation de panneaux photovoltaïques de la multinationale Boralex.
En juillet dernier, plusieurs militants avaient manifesté sur la montagne de Lure, à Cruis (Alpes-de-Haute-Provence) pour s’opposer à l’implantation d’une centrale photovoltaïque. Au total, 11 associations de protection de l’environnement ont porté plainte pour destruction d’espèces protégées mais la société n’a pas arrêté les travaux.
« Il faut arrêter cette monstruosité »
Alors, ce mardi après-midi, avant l’audience, plusieurs autres opposants au projet continuent de le condamner.
« Il faut essayer d’arrêter cette monstruosité, détruire la nature pour installer des panneaux solaires. Il faut faire la transition mais pas comme ça », regrette Anne-Marie auprès de BFM DICI.
De son côté, Nadine, membre du collectif « Elzeard Lure en Résistance » explique que cette « lutte est importante ». « Nous voulons préserver la montagne de Lure et nous n’allons pas la laisser à ceux qui veulent que les multinationales s’en emparent », indique la militante.
Un combat et des actions qui devraient donc se poursuivre dans le département. « On se sent légitimes de faire barrage à ces travaux » conclut Véronique, une autre militante. Le procès a finalement été renvoyé au 5 décembre prochain.
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