Sur le web : pour la justice, la suspecte présente un risque « majeur » de récidive

, Sur le web  : pour la justice, la suspecte présente un risque « majeur » de récidive

Voilà qui va vous satisfaire : Un nouveau papier que nous venons de voir sur le web et que nous vous produisons ci-dessous. Le propos est « la justice ».

Son titre (pour la justice, la suspecte présente un risque « majeur » de récidive) parle de lui-même.

L’éditorialiste (identifié sous le nom d’anonymat
) est connu et fiable.

Cet encart peut ainsi être pris au sérieux.

Voilà ll’article mentionné :

La juge qui a décidé du placement en détention de Dahbia B., la meurtrière présumée de Lola, a relevé le risque « majeur » de récidive de la jeune femme. Elle a d’ailleurs été jugée apte à rester en prison.

Pour justifier la mort de Lola, Dahbia B. a d’abord avancé devant les enquêteurs – avant de se rétracter un motif futile: un différend avec la mère de la jeune fille, gardienne de la résidence, qui aurait refusé de lui donner un badge d’accès à l’immeuble.

Selon les informations de BFMTV, c’est – notamment – sur la base de ce mobile que la juge des libertés et de la détention a décidé de l’incarcération de la meurtrière présumée de Lola. La magistrate estime qu’il laisse craindre un nouveau passage à l’acte et qu’il existe donc « un risque de réitération majeur ».

Par ailleurs, la juge a relevé le risque de destruction des indices par la suspecte ou les pressions qu’elle pourrait exercer sur les autres protagonistes du dossier ou sur les témoins. Enfin, la magistrate note le risque « exceptionnel » de trouble à l’ordre public lié à la vive émotion qui entoure le meurtre de Lola.

Des expertises à venir

L’une des questions centrales des investigations menées désormais sous le contrôle d’un juge d’instruction va être de déterminer l’état psychique de la suspecte au moment de son passage à l’acte. Placée depuis mardi matin à l’isolement au quartier des femmes du centre pénitentiaire de Fresnes, elle a rencontré la directrice adjointe de la prison mais aussi un médecin et un psychologue.

Selon nos informations, la jeune femme de 24 ans est décrite comme ayant la « tête sur les épaules », une personne qui tient un discours cohérent. Pour le moment, son état a été jugé compatible avec son placement en détention. D’autres expertises, notamment psychiatriques, vont être ordonnées tout au long de cette instruction.

Lors de sa garde à vue, la jeune femme s’est montrée très détachée vis-à-vis des faits devant les policiers. « Ça me faisait ni chaud ni froid », a-t-elle déclaré aux enquêteurs, assurant avoir elle aussi été victime d’un « viol ». Ce n’est que lors de ses 5e et 6e auditions qu’elle est revenue sur ses aveux, assurant « s’être battue contre un fantôme ».

Face aux questions des enquêteurs, qui lui rappellent qu’elle leur a livré des indications que seul le meurtrier de Lola peut connaître, Dahbia B. a assuré qu’il était impossible qu’elle tue un enfant.

Publications:

Genre, patrimoine et droit civil : Les femmes mariées de la bourgeoisie québécoise en procès, 1900-1930,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.

Les grands arrêts du droit pénal général,Le livre .

Soit je gagne, soit j’apprends,Le livre . Disponible dans toutes les bonnes librairies.