Notre rédaction va faire la lumière sur ce texte qui vient d’être publié, dont le sujet est «la justice».
Le titre (Arthur Harari, avocat en diable – Libération) en dit long.
Présenté sous la signature «d’anonymat
», l’auteur est connu et fiable pour d’autres encarts qu’il a publiés sur internet.
Vous pouvez prendre connaissance de ces infos en toute confiance.
L’éditorial a été publié à une date indiquée 2023-09-24 08:09:00.
L’article mentionné :
Le portrait
Article réservé aux abonnés
Coscénariste de la dernière Palme d’or avec sa compagne, Justine Triet, le réalisateur à l’ambition ardente offre désormais au grand public ses talents d’acteur dans «le Procès Goldman».
Il était réalisateur prometteur, jeune turc apprécié d’un cercle d’initiés assez lancés. Il était aussi acteur en développement, qui ne s’acharnait pas à vamper à l’écran tant la mise en scène était son obsession. Pourtant, le voici beau moustachu incarnant parfaitement le cinglant avocat Georges Kiejman dans le Procès Goldman. Il est également coscénariste d’Anatomie d’une chute, long métrage palmé, signé par sa compagne, Justine Triet. Laquelle n’a pas mâché ses mots à Cannes, défendant en mondovision les manifestations sur les retraites et l’exception culturelle française.
Arthur Harari vivait affairé et intense, escorté d’une élégante reconnaissance, capitonné d’entre-soi hype et festonné de rêves qui aboutiraient. Le voici qui découvre l’exposition grand public. Il y tient le rôle du prince consort, ce qui ne l’enchante guère tant il reconnaît avoir l’orgueil chatouilleux et l’ambition ardente. Ça lui déplaît plus encore de voir son couple ausculté par les méd
A lire sur le même sujet:
Droit international public/L’État,(la couverture) .
Japonais/Vocabulaire,Le livre . Disponible dans toutes les bonnes librairies.
Notes d’audience ou Les Mémoires d’une « tribunaliste »,(la couverture) . Disponible à l’achat sur les plateformes Amazon, Fnac, Cultura ….