Un fois de plus, ce blog va vous révéler un texte qui se propage sur le web. Le sujet est «la justice».
Le titre troublant (Des lanceurs d’alerte congolais obtiennent la condamnation d’un avocat pour diffamation — La Libre Afrique) est parlant.
Identifié sous le nom «d’anonymat
», le rédacteur est connu et fiable pour d’autres papiers qu’il a publiés sur internet.
Vous pouvez par conséquent vous fier aux révélations qu’il donne.
L’article :
Le tribunal judiciaire de Paris a condamné l’avocat Me Eric Moutet pour diffamation après que celui-ci a qualifié les lanceurs d’alerte congolais Gradi Koko Lobanga et Navy Malela Mawani de « faussaires ». Ces propos avaient été tenus devant des médias congolais en février 2021. La Plateforme de Protection des Lanceurs d’Alerte en Afrique (PPLAAF) s’est félicitée du résultat de ce jugement via un communiqué de presse. Le tribunal judiciaire de Paris a pris sa décision dans une affaire liée à l’exploitation des ressources naturelles en Afrique. Le conflit est apparu suite à la parution du rapport « Des Sanctions, Mine de rien » publié en juillet 2020 par les organisations PPLAAF et Global Witness. Ce rapport révélait que le magnat des mines Dan Gertler aurait utilisé un réseau de blanchiment d’argent via la banque congolaise Afriland. En 2017 déjà, les États-Unis avaient sanctionné Dan Gertler, ami de l’ancien président de la RDC, Joseph Kabila, à cause de ses « contrats miniers et pétroliers opaques et entachés de corruption ».
PPLAAF est active dans la défense des lanceurs d’alerte tandis que Global Witness lutte dans le milieu de l’exploitation des ressources naturelle.
PPLAAF dénonce dans son communiqué une « campagne d’intimidation » menée par l’entourage du magnat minier Dan Gertler contre des lanceurs d’alerte, des associations et des journalistes.
Durant cette saga judiciaire, Dan Gertler était défendu par l’avocat Me Eric Moutet. La Plateforme de Protection des Lanceurs d’Alerte en Afrique a obtenu gain de cause suite à sa plainte concernant les propos de cet avocat.
Le Tribunal judiciaire de Paris a considéré que les allégations de Me Eric Moutet reposaient sur des arguments trop peu probants. Celui-ci avait imputé aux lanceurs d’alerte des falsifications. Les associations PPLAAF et Global Witness se sont montrées satisfaites du verdict rendu dans cette affaire.
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